G comme Gustave Eiffel

Mais le portrait, ce n'est pas seulement l'illustration d'une histoire familiale ou la recherche d'une ressemblance, c'est aussi un art ! Et le premier à avoir contribué à cette reconnaissance c'est Nadar. Pour ceux qui comme moi n'ont pas forcément d'ancêtres célèbres, ces portraits sont une part de notre histoire et de notre patrimoine commun. 

Aujourd'hui, la généalogie ne peut plus se résumer en une accumulation frénétique de sosa(s) non contextualisés et la recherche porte de plus en plus fréquemment sur la vie quotidienne. 

Gustave Eiffel, par Nadar (1888)

Pour les besoins du challenge, j'ai retenu le portrait de Gustave Eiffel daté de 1888 car je m'intéresse particulièrement à ses origines allemandes, dans le cadre de mon projet de recherche en cours. Mais également en raison de mon appétence pour les commémorations... En 2023, nous célébrerons les 100 ans de la disparition de l'architecte de la tour... qui a failli s'appeler Bönickhausen, mais qui finalement à travers son nom, rend hommage à un trisaïeul originaire de la région d'Eifel.

Pour en savoir plus, je vous encourage vivement à consulter la brillante exposition consacrée par la Bibliothèque nationale de France aux Nadar, et nommant la troisième partie portant sur les usages documentaires de la photographie.


Commentaires

  1. Dans le fonds que j'étudie, j'ai trouvé une photographie par Nadar, j'ai eu le sentiment de découvrir un portrait d'art. Le détenteur de ces archives en était ébloui.

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