Entre archives et histoire... en passant par la généalogie, l'héraldique et surtout le numérique
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À la naissance de ma fille Suzane... le livret de famille s'est envolé pour Tahiti, à Pirae, où son père était né une trentaine d'années plus tôt. Un moment il avait été envisagé de le prénommer Téva... qui signifie prince des voyages...
Détail du livret de famille : sceau de la mairie de Pirae
Aussi, pour perpétuer la tradition, le troisième prénom de ma fille cadette est Hina, déesse polynésienne de la Lune... qu'elle arbore fièrement sur son tee-shirt... également peint d'une fleur de tiaré.
Tee-shirt commémoratif... peint par Sabine, sur une autre île paradisiaque
L'expérience polynésienne marque profondément et durablement toutes celles et ceux qui ont eu la chance d'y vivre quelques années... et cela reste un thème privilégié de toutes les réunions de famille. Alors, rien que pour le plaisir et pour démontrer qu'il n'y pas que les Haïdouks... voici un autre moment de nostalgie !
Effectivement Tahiti laisse des empreintes indélébiles. 15 ans après, la simple vue d'un tampon marqué Pirae provoque toujours quelques frissons... Merci pour ce billet plein de nostalgie
Bien avant de m’intéresser à la généalogie… j’y ai été
sensibilisée, sans vraiment m’en apercevoir, à travers mes études d’histoire. En
1989, je consacrais mon mémoire de maîtrise à Aliénor d’Aquitaine… avec
l’intention de faire la part du mythe et de la réalité en me basant sur les
sources des XIIe et XIIIe siècles…
Or, il est impossible de comprendre la vie tumultueuse de la
fille de Guillaume X d’Aquitaine, sans se plonger dans sa généalogie…
ascendante et descendante !
Ainsi, pour comprendre l’annulation de son mariage avec Louis
VII… il convient d’étudier ses liens de parenté avec le roi de France et de se pencher sur la
question complexe du comput des
degrés de parenté variant en fonction du droit canonique et du droit civil.
Enfin, dans les dernières années de sa vie, Aliénor trouve un rôle à la hauteur de ses ambitions : mère de deux rois ! L’éloge du nécrologe de l’ordre de Fontevraud mentionne "sa nombreuse postérité" qui donna un nouvel éclat au monde…
Il faut commémorer le soldat DAULIER « Mort pour la France »
Quel dispositif permet de compléter l'état civil en cas de disparition ?
Dans le cas des disparus de la Grande Guerre, les familles devaient attendre deux ans avant de saisir le tribunal afin qu'il prononce un jugement déclaratif de décès. L'article 9 de la loi du 25 juin 1919 stipulait en outre que les déclarations judiciaires ne pouvaient intervenir avant le 24 avril 1920... c'est-à-dire six mois après la date officielle de cessation des hostilités.
Lors du challenge 2014, j'avais constaté que je privilégiais dans mes recherches les sept premières générations... théoriquement dans l'optique de pouvoir accumuler une documentation conséquente !
Mais, à y regarder de plus près, les choses ne sont pas si évidentes pour la première moitié du XIXe siècle.
Grâce aux photos de mariages... et aux tombes... les visages et les patronymes de mes sosas n° 16 à 31 me semblent familiers. Pourtant, dès la 6e génération, tout se complique ! Plus d'image... ni de noms gravés dans la pierre ! Alors comment faire ?
Nés entre 1802 et 1830, je sais très peu de chose sur mes sosas n° 32 à 63. J'aurais notamment voulu en savoir un peu plus sur Françoise Wagner, mon sosa n° 57.
Pour son fils, Jean-Georges Thiel, époux de Marie Touba, je retrouve les informations principales sur la tombe familiale à Cappel.
Quelles sources me permettraient d'en savoir plus sur Françoise ?
Après une première recherche rapide sur Geneanet, je ne trouve q…
Effectivement Tahiti laisse des empreintes indélébiles. 15 ans après, la simple vue d'un tampon marqué Pirae provoque toujours quelques frissons...
RépondreSupprimerMerci pour ce billet plein de nostalgie
Merci pour votre commentaire. Je suis également sensible à cette nostalgie... même par procuration !
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