À la naissance de ma fille Suzane... le livret de famille s'est envolé pour Tahiti, à Pirae, où son père était né une trentaine d'années plus tôt. Un moment il avait été envisagé de le prénommer Téva... qui signifie prince des voyages...
Détail du livret de famille : sceau de la mairie de Pirae
Aussi, pour perpétuer la tradition, le troisième prénom de ma fille cadette est Hina, déesse polynésienne de la Lune... qu'elle arbore fièrement sur son tee-shirt... également peint d'une fleur de tiaré.
Tee-shirt commémoratif... peint par Sabine, sur une autre île paradisiaque
L'expérience polynésienne marque profondément et durablement toutes celles et ceux qui ont eu la chance d'y vivre quelques années... et cela reste un thème privilégié de toutes les réunions de famille. Alors, rien que pour le plaisir et pour démontrer qu'il n'y pas que les Haïdouks... voici un autre moment de nostalgie !
Effectivement Tahiti laisse des empreintes indélébiles. 15 ans après, la simple vue d'un tampon marqué Pirae provoque toujours quelques frissons... Merci pour ce billet plein de nostalgie
Effectivement Tahiti laisse des empreintes indélébiles. 15 ans après, la simple vue d'un tampon marqué Pirae provoque toujours quelques frissons...
RépondreSupprimerMerci pour ce billet plein de nostalgie
Merci pour votre commentaire. Je suis également sensible à cette nostalgie... même par procuration !
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